Mohammed Khaïr Eddine
Né en 1941, à Tafraout, et exactement à adouar « azru n waDu », dans le Sud marocain. Depuis qu’il était au lycée « lycée Moulay el-Hassan » à Casablanca, Mohammed Khaïr Eddine a déjà commencé à écrire en français. A cette époque, il a déjà publié des articles dans le Journal « la Vigie marocaine », « le Petit marocain », il était très remarqué par ces professeurs, et selon le témoignage de son frère Ahmed khaïr Eddine, les professeurs français qui enseignent au Maroc à cette époque ne le corrigeaient jamais ses rédactions « les expressions écrites », car ces professeurs lui mettaient sur ses rédactions « travail mérite d’être publier ». Il travailla dans la fonction publique au Maroc, puis, il s’installa en France en 1966 où il publia ses romans, les suivants:
1- « Agadir » en 1967, chez Seuil.
2- « Corps négatif », en 1968.
3- « Histoire d’un bon dieu », en 1968.
4- « Soleil arachnide » en 1969.
5- « Moi l’Aigre », en 1970.
6- « Le Déterreur », en 1973.
7- « Ce Maroc ! », en 1975.
8- « Une odeur de mantèque », en 1976.
9- Puis son dernier recueil de poèmes, « Mémorial », en 1991.
Mohammed Khaïr Eddine retourna au Maroc en 1993, où il mourut en 1995 à Rabat.
L’homme a parfaitement maitrisé la langue de Molière mieux même que les Français de souche. Il a acquis un style original qui a été reconnu par des grands poètes notamment, Jean Paul Sartre, André Malraux, Aimé Césaire et bien d’autres.
Les œuvres de Mohammed Khaïr Eddine étaient traduits en allemand ce qui ouvre à cet œuvre une démentions internationale.
Mohammed khaïr Eddin a beaucoup exprimé son amazighité dans ces travaux, il y a même des présentations de quelques ouvrages qui parlent entièrement de la cause amazighe. Il a parlé même du mouvement culturel amazigh depuis cette époque alors que ce mouvement il vient de naitre à cette époque, ce que justifié son attachement à son identité amazigh mais plutôt sa conscience depuis cette époque de mouvement culturel amazigh.
رحمه الله
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